Quelest le symbole de la Nouvelle-Zélande ? Août 21. Voyage. Quel est le salaire moyen en Australie ? Août 21. Voyage. Quel est le salaire minimum au Mexique ? Août 21. Voyage. Quel est le meilleur mois pour aller au Mexique ? Août 21. Voyage. 10 choses que vous ne saviez pas sur la capitale de l’Australie. Août 21. Actu. Combien Coute Un Voyage À Bali ? DERNIERS
Onvous souhaite de passer un agréable séjour en Nouvelle-Zélande, pays qui offre de splendides paysages et énormément de choses à découvrir A bientôt. One thought on “ Coût d’un voyage en Nouvelle Zélande ” Jo. 27 décembre
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Lescitoyens de Nouvelle-Zélande peuvent visiter, faire des affaires, étudier, travailler et vivre en Australie sans avoir à demander un visa préalable. En tant que Néo-Zélandais, vous avez droit au visa de catégorie spéciale (sous-classe 444), que vous pouvez obtenir à votre arrivée. Après cinq ans de vie en Australie, vous pouvez demander la résidence permanente, si vous
Enfaisant appel à un prestataire privé tel que E-visa international, les voyageurs économisent du temps avant leur voyage en Nouvelle-Zélande. Les experts prennent en charge toute la procédure de demande, en apportant les vérifications nécessaires. En moyenne, le formulaire pour le NZeTA se remplit en 5 minutes.
Lalocation d’un van en Nouvelle-Zélande est l’une des meilleures options pour visiter le pays et profiter à 100% de son voyage. De plus, les infrastructures en NZ sont très développées. Il est
CBnnh7. NZeTA combien ça coûte ? D’une durée de validité de 2 ans, un NZeTA coûte 9,00 NZD environ 5,20€ pour les demandes d'applications mobiles et 12,00 NZD environ 7€ pour les demandes via le site web de l’ NOUVELLE TAXE TOURISTIQUE En complément du NZeTA, le gouvernement néo-zélandais a mis en place depuis Juillet 2019 une nouvelle taxe touristique, appelée IVL International Visitor Conservation and Tourism Levy.Cette taxe est valable sur la même période que l’ETA et coûte 35 NZ$ par personne environ 20€. Elle est à payer en même temps que la demande d’ETA directement en ligne. Attention aux arnaques De nombreux sites web peu scrupuleux vous proposeront de vous aider dans votre demande de NZeTA ou de payer plus cher pour obtenir votre NZeTA en “express”. Pour rappel, un NZeTA peut s’obtenir en quelques minutes via la site de l’immigration. L’ensemble de la démarche demande de NZeTA + paiement de la taxe touristique vous coûtera au maximum 47 NZ$ soit environ 28 euros. Nous vous recommandons donc de réaliser votre demande de NZeTA uniquement via le site officiel de l’immigration néo-zélandaise.
La Nouvelle Zélande est l’une des destinations les plus prisée par les PVTistes ; située à 19 178km au Sud Est de la France, ses paysages sont somptueux et l’environnement, le cadre et la qualité de vie y sont des plus favorables ; cet état vous permettra non seulement d’assouvir vos besoins de changement mais aussi de travailler par la même occasion car c’est en effet le but du PVT ou du programme voyage travail. Combien les PVTistes devront alors emmener si leur choix se tourne vers la Nouvelle Zélande ? La vie en Nouvelle Zélande, ça coûte combien ? Il faut savoir qu’avec le dollar néo-zélandais NZ$, qui est la monnaie nationale de la Nouvelle Zélande, pour 1€ vous aurez NZ$ selon Boursorama. Outre la souscription à l’assurance santé couvrant les frais liés à la maladie, l’hospitalisation et le rapatriement – frais qui représente environ 432€ CHAPKA Assurance pour une durée de 12 mois, les billets d’avion valent entre 714€ et 729€ pour un aller simple vers la Nouvelle Zélande selon l’application Kayak – les dépenses durant ce programme diffèrent selon les individus mais la fourchette de prix que nous proposons se situe entre 2500€ 4200 NZ$ et 4500€ 7500 NZ$. A ce sujet, comme vous pouvez le voir dans notre article l’assurance PVT est-elle obligatoire en Nouvelle Zélande, vous devrez impérativement prendre une assurance pour vous couvrir en cas de pépins. Ces dépenses se détaillent de la façon suivante Les frais d’hébergement, principalement composés de la location se chiffrent à 600€ en moyenne mensuellement d’après Airbnb ; ce montant pourrait contenir à la fois les charges d’eau et d’électricité, si ce n’est pas le cas, il faudra donc débourser en plus environ 105,35 €/mois par rapport à la consommation Pour les frais de transport ; nous vous préconisons la location d’un véhicule pour faciliter vos déplacements, cette location coûte entre 700€ et 900€/ mois hors carburant et le prix du combustible se chiffre entre 0, 73€ et le litre selon le type essence ou gasoil. Sachez cependant qu’il existe d’autres alternatives comme par exemple le bus pour 2,24€ en moyenne le ticket ou l’abonnement à 89,67 € le mois. Quant à la nourriture, là encore le PVTiste aura le choix entre cuisiner lui-même ou bien se relaxer dans un des innombrables restaurants proposés au sein du pays. Dans le premier cas, les coûts se décomposent comme suit pour la viande compter entre 7€ et 14€ le kilo, le poisson entre 12€ et 22€ le kilo, le pain à 2€ la baguette, le lait à 1,31€ le litre, le fromage à 4€ les 200g, les fruits et légumes à 2€ le kilo. En totalité pour une semaine de bonne nourriture fraichement cuisinée par vos soins, vous débourserez entre 70€ et 100€ pour vos courses. Souscrire à une assurance PVT > Dans le deuxième cas, les tarifs varient en fonction des établissements cependant nous avons pu constater que le café coûte entre et 3€, un plat entre 18€ et 33 €, le menu fast food entre 5,4€ et 7,2€. Quant aux adeptes de boissons alcoolisées vous payerez en moyenne 5€ le verre. Envie d’aventure et d’autres sensations, profitez des activités phares du pays telles que les croisières, le kayak, les visites de monuments les plus emblématiques du pays ; pour cela il faudra compter entre 20€ et 100€ selon les activités, pour plus de détails Pensez à prévoir une centaine d’euros pour les imprévus et de consulter les meilleures assurances PVT pour ne prendre aucun risque lors de votre voyage. En résumé, pour un PVT en Nouvelle Zélande, vous devrez vous munir d’environ 3500€ 5845 NZ$ en moyenne pour pouvoir subvenir à vos besoins durant l’année, ce tarif ne représente qu’une fourchette, il faudra le réadapter en fonction de chaque PVTiste et il peut être révisable à la baisse si le PVTiste travaille au sein du pays. Nous vous souhaitons d’ores et déjà bon voyage et bon séjour en Nouvelle Zélande. Du haut de mes 25 ans, je suis un grand passionné de voyage ! Je suis aussi très intéressé par l’informatique, c’est pourquoi j’ai décidé de créer un site internet dédié aux assurances pour les Programmes Vacances Travail afin d’informer au mieux les lecteurs et futurs voyageurs.
Facile comme devenir éleveur néo-zélandais Publié le 29 juin 2018 Mis à jour le 29 juin 2018 à 1056 Ted Rollinson est propriétaire de sa ferme d’élevage mais n’est plus propriétaire du troupeau, Les vaches appartiennent à quelqu’un de plus jeune, aussi en charge des responsabilités opérationnelles de l’entreprise. Ted Rollinson est propriétaire d’une ferme laitière de 380ha, pour plus d’un millier de vaches. Il travaille sur l’élevage dont la responsabilité opérationnelle revient à un sharemilker qui détient également quelques parts du système de production. Progressivement, le jeune homme accroît son capital dans l’espoir de devenir à son tour, un jour, propriétaire d’une rédaction d’Entraid vous emmène à travers une série de 15 articles à la découverte de la production laitière Nouvelle Zélande. Un voyage d’étude rendu possible grâce à notre partenaire Agrilys spécialisé dans l’organisation de voyage d’étude professionnel à l’étranger. Suivez notre journaliste en visite sur une exploitation laitière Nouvelle Zélande. Cliquez sur le lien suivant pour voir le sommaire et l’intégralité des articles traitant de l’élevage laitier. Avec leur approche de spécialisation extrême, les acteurs de la production de lait néo-zélandaise en sont arrivés à une spécialisation du facteur humain au sein même du système d’exploitation. Celui qui finance peut être différent de celui qui décide et celui qui travaille et fait travailler peut encore être un autre. Le propriétaire de l’élevage laitier peut donc ne jamais avoir à approcher une vache et c’est parfois un objectif. Pour cela, certains ont un sharemilker. Derrière ce titre, se cache un moyen de placer des jeunes gens dynamiques et motivés dans le rôle d’éleveur. Eux, sont portés par l’objectif de capitaliser progressivement jusqu’à pouvoir acheter eux-mêmes leur ferme. Etre sharemilker permet de progresser très rapidement », explique un éleveur qui a démarré sharemilker de son père. On gère son troupeau comme on veut. C’est très intéressant ». Ce schéma d’organisation des exploitations a sans doute sa part de responsabilité dans le spectaculaire développement de la production laitière. L’équipe adéquate autour d’un troupeau laitier en Nouvelle-Zélande aligne le plus souvent plusieurs acteurs, chacun à son poste bien précis ©Marthe Vivant. Transmettre progressivement le patrimoine Chez Ted et Sue Rollinson, dans le Canterbury, les 380ha sont irrigués grâce à six pivots. Après avoir vendu la ferme familiale du nord de l’île, le couple s’est installé ici, dans la plaine la plus productive du pays. Nous avons converti l’exploitation céréalière au lait, aplani les paddocks avec une pente pour l’irrigation », initiée par submersion grâce au réseau de canaux. Depuis, les rampes permettent de maîtriser les volumes nécessaires à l’arrosage des prairies, grâce à 8km de canalisations et un investissement de 5MNZ$. Nous mettons 20mm tous les 3 à 5 jours de septembre à avril, selon les années ». Ted Rollinson affirme que grâce à l’irrigation, nous avons le contrôle sur le lessivage de l’azote ». Sans parler du rendement annuel 20tMS/ha. Au quotidien, c’est le sharemilker qui gère l’irrigation. Le jeune homme dirige aussi l’équipe de sept salariés directement au contact des animaux. Aujourd’hui, l’exploitation laitière compte 1450 vaches traites dans un roto de 70 places. Qu’il est loin le troupeau de six vaches avec lequel le père de Ted avait démarré en 1936! Leur décision de contracter avec un tiers pour diriger leur ferme, Ted et Sue l’ont prise il y a une dizaine d’années. C’était une grande décision, nous voulions prendre du recul par rapport au travail de l’exploitation. Nous avions le choix entre vendre la ferme ou installer un sharemilker », se souvient Ted. Outre les responsabilités et charges qu’il supporte voir encadré, le sharemilker doit produire au-delà d’un volume minimum déterminé. Il reçoit en contrepartie la moitié du profit réalisé par la ferme. Dans un pays où la dimension des structures est imposante, le système du sharemilking permet aux propriétaires de confier leur entreprise à des jeunes motivés. Pour ces derniers, l’intérêt est d’accroitre progressivement le capital qu’ils détiennent. Sharemilker un statut en perte de vitesse dans le pays Aujourd’hui, environ un troupeau sur cinq voit intervenir un sharemilker dans son schéma. Il y en a de moins en moins parce qu’ils sont en difficultés lorsque les prix sont bas et qu’ils n’ont pas la terre en assurance », relève Matthew Newman, responsable du service économie de DairyNZ recherche et conseil aux éleveurs. Ils n’accèdent pas non plus aux revenus que représentent les dividendes des parts sociales Fonterra détenues par les propriétaires coopérateurs. Ce schéma devient difficile pour acquérir des fermes qui valent de l’ordre de 7MNZ$ », avec un coût du foncier aux environs de La carrière de l’éleveur pouvait se dérouler ainsi salarié, sharemilker à 20%, jusqu’à 50/50 sharemilker, avant de pouvoir s’installer et être propriétaire des terres, avec plusieurs changements de fermes dans son parcours. Répartition des rôles chez Ted Rollinson Les charges et responsabilités du sharemilker de la ferme Rollinson- Il apporte le cheptel - Il embauche avec un nombre de salariés minimum déterminé - Il paie o Les salaires o L’énergie électricité o Les aliments achetés o 50 % de la fertilisation azotée sur les surfaces additionnelles o 50 % du fermage sur les surfaces additionnelles vaches taries et hors plateforme o L’ensilage est réalisé par le shareholder qui facture sa prestation à son sharemilker temps et matériel. Les charges du shareholder Ted et Sue Rollinson- Il paie o 50 % de la fertilisation azotée sur les surfaces additionnelles. o Les taxes, les assurances. o La fertilisation de fond. o Les améliorations foncières. o Il détient la terre et les parts sociales Fonterra et en reçoit les dividendes. Chez les Rollinson, le 50/50 sharemilker a cette fonction depuis 9ans. Il se montre satisfait de sa situation, de ses relations de travail avec son shareholder propriétaire. Mais il espère s’installer sur une ferme voisine à l’échéance d’un an. Il est notamment suspendu à la décision des banques qui ont des exigences croissantes, au fur et à mesure qu’il augmente son propre capital. Les propriétaires se voient bien continuer avec la même personne, envisageant de lui proposer un nouveau contrat pour six ans. Dans leur idée, ce pourrait même être lui qui reprenne la ferme après leur décès. Nous avons trois enfants. Tous ont des parts dans des exploitations laitières mais aucun ne pourra reprendre seul cette ferme qui est trop grande. Soit ils la garderont ensemble avec un sharemilker, soit elle sera vendue », ce qui pourrait aussi se faire par Ted et Sue eux-mêmes s’ils en éprouvent le besoin un jour. Le système sans bâtiment, avec de l’herbe Situé dans le Canterburry, la région la plus productive du pays», la ferme des Rollinson est totalement herbagère. Il n’y a pas de maïs, car c’est ce qui coûte le plus cher», coupe l’éleveur. Il faut, cultiver, récolter, stocker… il y a de la perte», surtout dans un système sans bâtiment d’élevage. Or, construire n’est pas au programme pour Ted Rollinson car avoir un bâtiment ne permet pas de rester en-dessous du coût de production critique». Chez lui, le coût de production s’affiche en deçà de 4NZ$/kgMS et des références nationales. Le maïs sert à faire du stock quand l’herbe ne pousse pas. Donc quand on irrigue, le maïs n’a pas de sens».
Nouvelle-Zélande NOUVELLE-ZÉLANDE – Comment organiser son road trip pour découvrir les merveilles des deux îles ? Bons plans, itinéraire, récit on vous dit tout. Louer un camping-car, ou un campervan, c’est de loin le meilleur moyen pour voyager en Nouvelle-Zélande ! Parce que ça offre une super liberté pour découvrir le pays et ses incroyables paysages. Mais aussi parce que, de l’île du nord à l’île du sud, tout est prévu pour ! La Nouvelle-Zélande en road trip easy ! Tout incite le voyageur à circuler dans un van les campings ou les aires de camping-car de toutes gammes ou gratuites, même quadrillent la Nouvelle-Zélande. D’Auckland à Wellington, de Christchurch à Dunedin, c’est simple, il y en partout ! Les points d’eau, de vidange et autres lieux de stationnement sont innombrables et ça ne coûte pas cher, pas si cher du moins, avec quelques astuces. Voici notre expérience, nos conseils pour un road trip réussi et notre carnet de voyage, avec l’itinéraire détaillé. Notre road trip en Nouvelle-Zélande en vidéo On est plein tour du monde quand on arrive en Nouvelle-Zélande. Et on reste qu’un mois sur place nous, on a donc cherché une location de campervan. D’autres préférent investir ; on n’a pas voulu tenter le coup » d’acheter puis revendre pour quatre semaine. Mais si vous restez plusieurs mois en NZ, envisagez-le sérieusement. 1 – Location camping-car, campervan ou van ? Une fois l’option location choisie, par où commencer ? Camping-car, campervan, van ou pourquoi pas voiture break quel véhicule choisir ? Dans quelle agence de location ? Le première critère qui risque de faire la différence, on ne va pas se raconter d’histoire, c’est le prix. Ça a été le nôtre, en tout cas. La première chose à faire, c’est donc de comparer les tarifs proposés sur votre période de voyage. Ils varient énormément en fonction des saisons. Rendez-vous sur les deux sites francophones qui regroupent les grands loueurs » du pays Frogs-in-NZ and DetourNZ. Pas si simple chaque compagnie concurrente Escape, Jucy, Spaceships, Happy camper… présente des avantages et des inconvénients. Prenez bien le temps de comparer. NOTRE CHOIX le Jucy Condo. Attention ça veut pas dire que c’est la meilleure solution pour tous, loin de là ! On vous explique pourquoi ça l’été pour nous. Notre choix le van Jucy self contained D’abord parce qu’on est trois passagers notre pote Luc nous a rejoint en Nouvelle-Zélande. Un break aménagé n’est pas donc envisageable. Quant à un camping-car, un vrai, c’est un véhicule trop encombrant et trop couteux pour nous. Capacité théorique » du Jucy condo 4 personnes de nuit, 5 de jour. Ensuite parce qu’on est hors saison et que Jucy affiche des prix compétitifs en période creuse les tarifs doublent facilement en été. Enfin son équipement. Il est self contained. C’est un critère très important ! Une habilitation qui permet de stationner – en toute légalité – pour la nuit dans toutes les aires répertoriées, notamment celles qui ne sont pas équipées de toilettes. Autre élément en faveur du Condo sa cuisine intérieure ». Si tous les campervans sont équipés pour cuisiner, beaucoup imposent de le faire hors du véhicule. Et nous sommes à la fin de l’hiver. La météo ? Il ne fait pas chaud. Il pleut. Alors les séquences barbecue il y en a eu sont sympas, mais pas toujours possibles. C’est quand même agréable d’avoir un endroit abrité pour cuisiner, manger et finir sa soirée. Fourni dans le Jucy Condo cuisine équipée vaisselle ; éponge ; produit vaisselle ; deux gaz ; un frigo ; un robinet ; couettes et oreillers ; balayette ; petit chauffage ; rideau opaque sur toutes les fenêtres… La visite du van en vidéo Combien ça coûte ? Pour une location de 23 jours, au mois de septembre-octobre on a payé 1867,63 NZD, l’équivalent de 1138,72 euros pour trois personnes. 2 – Nos bons plans pour un road trip en Nouvelle-Zélande On vous conseille d’abord deux cartes de fidélité incontournables pour faire des économies. On ne parle pas ici de centaines de dollars hélas mais toute économie est bonne à prendre quand on voyage, non ? LA CARTE AA. Elle offre des réductions dans les stations-services Caltex et BP à chaque fois que vous vous arrêtez mettre de l’essence. La carte est gratuite, vous la trouverez dans les I-sites offices de tourisme d’Auckland, à l’aéroport ou dans la navette Airbus qui va de l’aéroport au centre-ville. Il vous suffit ensuite de préciser, lors du paiement à la station service, si vous conservez les économies réalisées pour plus tard ou si vous les utilisez sur ce plein. LA CARTE COUNTDOWN. Celle-là permet d’avoir des discounts petits, mais c’est toujours ça dans les supermarchés du même nom. Elle est aussi gratuite et vous pouvez la trouver aux mêmes endroits que la carte précédente. À présenter à chaque passage en caisse. Deux applications smartphones pour faciliter le voyage en campervan en Nouvelle-Zéalnde. Parce qu’on n’a pas toujours internet sous la main, que les offices de tourisme ne sont pas toujours ouverts et qu’un bon guide ou blog de voyage ne suffit pas. CAMPERMATE. IN-DIS-PEN-SABLE. Elle rassemble toutes les adresses utiles aux utilisateurs de campervan ou de camping-car. Elle liste tous les sites, gratuits ou payants, où vous pouvez garer votre véhicule pour la nuit mais aussi tous les endroits où vous pouvez trouver des douches, des toilettes, des points de vidanges ainsi que tous les sites d’intérêts du pays. Pour vous faire une idée sur ce que vous cherchez ne manquez pas de lire les commentaires des utilisateurs précédents. Le gros plus elle fonctionne hors connexion, d’où son intérêt. Et elle est gratuite. Celle-là on ne l’a pas découvert en Nouvelle-Zélande, ça fait un petit moment qu’on l’utilise en voyage pour calculer des itinéraires ou simplement comme plan. Elle fonctionne comme Google maps, mais elle est plus précise à notre avis. Si vous n’avez pas de GPS dans le véhicule, autant dire qu’elle est juste incontournable. Elle fonctionne elle-aussi hors connexion, elle est gratuite, il faut simplement penser à télécharger, en amont lorsque vous avez du wifi la carte du pays. Un dernier conseil si vous cherchez à vous connecter sur internet. Et que vous n’avez pas envie de payer une boisson ou un encas dans un bar qui possède le wifi pour pouvoir le faire ! Cherchez une bibliothèque municipale. Elles ont dans 90 % des cas un wifi gratuit que l’on peut capter à l’intérieur ou à proximité à l’extérieur. En Nouvelle-Zélande, souvent, pas besoin de mot de passe et aucune limite de temps si ce n’est les horaires d’ouverture du bâtiment. Petite exception relevée Queenstown limité en temps. Dans la rue, captez Spark wifi. Vous ne pourrez plus faire sans ces zones de free wifi. Il en existe un millier dans toute la Nouvelle-Zélande. La connexion est on ne peut plus simple. Une fois le réseau mémorisé, il se re-connecte automatiquement lorsqu’il en trouve un nouveau. Et vous avez droit de consommer 1 GB par jour. Si ça, ce n’est pas le bonheur… Au fait, puisqu’on parle de web, il existe un site en français qui est une vraie mine d’informations pour voyager en Nouvelle-Zélande ça s’appelle Kiwipal et c’est super bien fait. Vous ne regretterez pas la visite. 3 – Notre itinéraire On aurait aimé aller… à peu près partout. Mais il faut faire des choix. Tracer un semblant d’itinéraire. Parce que les distances sont importantes en Nouvelle-Zélande et les routes pas forcément géniales, surtout dans le sud, les temps de conduite parfois longs et qu’on se sépare de notre campervan au bout de seulement 23 jours… On était prévenu par voyageurs et locaux Gardez plus de temps pour l’ile du sud, plus belle et plus sauvage ». Un conseil qu’on a sagement écouté. Résultat une semaine sur l’île du nord, deux sur l’île du sud. On ne le regrette pas. ÎLE DU NORD Du coup, en limitant le temps sur l’île du nord, il a fallu allez à l’essentiel ». Et se rendre à l’évidence certaines zones nécessitant un détour doivent être abandonnées. C’est notamment le cas de la région du Coromandel, qui pourtant doit mériter sa réputation. Allez, on reviendra. Nos incontournables du nord Auckland ; Hobbiton ; Rotorua ; Taupo ; Togarino alpine crossing inaccessible pour cause de mauvaise météo; Pamerston North ; Wellington. ÎLE DU SUD Sur l’île du sud, là aussi, des choix s’imposent à nous. Deux grands classiques absents de notre circuit le parc Abel Tasman la pluie qui ne nous lâche pas depuis le début du séjour nous a conforté dans ce choix et le sud-ouest les routes sont longues et on manquait tout simplement de temps. Nos incontournables du sud Picton ; Kaikoura ; Pancakes rocks ; Franz Joseph Glacier ; Fox Glacier ; Wanaka ; Queenstown ; Milford Sound ; Mount Cook ; Christchurch ; Akaroa. CLIQUER CI-DESSOUS SUR LES LIENS POUR VOIR LES ARTICLES DÉTAILLÉS SUr CHAQUE DESTINATION. En 23 jours, nous avons roulé 3000 kilomètres. L’essence a été l’un des principaux postes de dépenses. Au total nous avons dépensé pour alimenter le moteur de notre campervan 906 NZD, soit 552,20 euros. Un budget à prendre en compte. ……………………………………………………… NOS ÉTAPES EN DÉTAILS Tous les stationnements de nuit cités ci-dessous sont détaillés sur l’application Campermate. Le tarif précisé correspond à trois personnes et un campervan. JOUR 1. départ en soirée. AUCKLAND – NGATEA 99 km. Nuit à Ngatea au Hauraki district council office carpark gratuit. JOUR 2. NGATEA – HOBBITON 95 km – ROTORUA 75 km. Nuit à Rotorua au camping Cosy cottage thermal kiwi holiday park 50 NZD, soit 30,50 euros JOUR 3. ROTORUA. Nuit dans une taverne à 26 km au sud de Rotorua, à deux pas du Parc Wai-o-tapu 20 NZD soit 12,20 euros JOUR 4. WAI-O-TAPU – TAUPO 52 km. Nuit à Taupo sur le parking Yatch club car park gratuit. JOUR 5. Tongarino Alpine Crossing. Les mauvaises conditions météorologiques pour les quatre prochains jours nous oblige a abandonnée l’idée de faire cette célèbre rando. TAUPO – PALMERSTON NORTH 242 km – WELLINGTON 141 km. Nuit dans un parking payant près de Cuba street à Wellington détails ici. JOUR 6. WELLINGTON. JOUR 7. WELLINGTON. JOUR 8. WELLINGTON – PICTON en ferry, lire encadré ci-dessous – BLENHEIM 30 km. Nuit sur la route à la sortie de Blenheim au Riversland Road house 20 NZD, 12,20 euros. JOUR 9. BLENHEIM – KAIKOURA 128 km. Nuit à Kaikoura dans le camping Alpine-Pacific holiday park 63 NZD, 38,40 euros JOUR 10. KAIKOURA. Nuit à Dunegals Irish Tavern gratuit. JOUR 11. KAIKOURA – PUNAKAIKI PANCAKES ROCK 364 km. Nuit à Fox River gratuit. JOUR 12. PUNAKAIKI PANCAKES ROCK – FRANZ JOSEPH GLACIER 217 km Nuit au camping Rainforest Retreat holiday park 55 NZD, 33,60 euros JOUR 13. FRANZ JOSEPH GLACIER – FOX GLACIER 24 km Nuit au Gillespies Beach campsite gratuit. JOUR 14. FOX GLACIER – WANAKA 262 km. Nuit à Luggate, à 30 km de Wanaka, au Cricket club campground 15 NZD, 9,20 euros JOUR 15. WANAKA – QUEENSTOWN 90 km. Nuit sur la route, aire de pique nique de Riverside gratuit. JOUR 16. QUEENSTOWN – MILFORD SOUND 287 km – TE ANAU 118 km. Nuit sur la route de Milford Sound dans un camping du Doc Henry Creek campsite 18 NZD, 11 euros. JOUR 17. TE ANAU – MOUNT COOK 414 km. Nuit au camping de Glentaner, Pukaiki lake 60 NZD, 36,60 euros. JOUR 18. MOUNT COOK. Nuit au camping du Doc White horse hill campground 10 NZD par personne, soit 6,10 euros. JOUR 19. MOUNT COOK – GERALDINE 185 km. Nuit à Arundel Bridge camp gratuit. JOUR 20. GERALDINE – CHRISTCHURCH 139 km. Nuit au camping South Brighton holiday park 36 NZD, soit 22 euros. JOUR 21. CHRISTCHURCH – AKAROA 82 km. Nuit au parking Akaroa boat ramp gratuit. JOUR 22. AKAROA – CHRISTCHURCH 82 km. Nuit à Coes Ford, site de camping gratuit. JOUR 23. CHRISTCHURCH, aéroport. DU NORD AU SUD, LA TRAVERSÉE EN FERRY C’est la règle lors d’un road trip en Nouvelle-Zélande. Pour rallier l’île du sud la plus spectaculaire, il faut prendre le bateau. La traversée en ferry du détroit de Cook, pour nous, part de Wellington. Le mauvais temps et les bourrasques ne nous quittent plus. On a rendez-vous sur le quai d’embarquement une grosse heure avant le départ du ferry, fixé à 9h30. Le prix de la traversée de 3 h 30 avec Interislander se chiffre à 320 dollars NZ soit 200 euros pour notre campervan et trois personnes à bord. Pas donnée. Le bateau est immense. En bas, deux salles de ciné. Ouais ! Ne vous emballez pas, les séances sont payantes. En haut, niveau 7 et 8, des petits salons. On prend place. Assez vite, ça se met à tanguer. À tanguer pas mal, d’ailleurs. Le personnel de bord vient prendre des nouvelles des passagers et distribuer les sacs à vomi. Elodie n’est pas au mieux. Mathieu roupille. Luc est stable. Ouf ! Plus qu’une heure de navigation. Les vagues se font moins violentes, le ferry pénètre entre les fjords, au nord-est de l’île du sud. Et ça devient beaucoup plus joli, même si le ciel est loin d’être dégagé. Il ne pleut plus. Picton est en vue. On débarque enfin. Il est temps d’avaler quelque chose. Et si on goûtait les grosses moules vertes, spécialité locale ?
Envie de préparer un voyage en Nouvelle-Zélande ? On vous comprend ! Partir à l’aventure et découvrir ce pays incroyable, cela fait rêver. Cependant, il y a tellement de choses à organiser avant un départ à l’autre bout du monde. Il est vrai que ce n’est pas toujours simple d’y voir clair et de penser à tout. C’est pourquoi aujourd’hui, on vous livre nos secrets pour partir sans prise de tête. Visa, assurance, location de van ou encore billet d’avion, on passe tout au peigne fin pour faciliter l’organisation de votre séjour. Vous serez prêt à vous envoler en direction de cette destination de rêve. Alors, préparez-vous à sillonner les routes magiques de la Nouvelle-Zélande… Sommaire Les premières questions à se poser Quand partir ? Combien de temps ? Les tâches administratives Choisir son visa Le billet d’avion L’assurance voyage Et le reste Voyager en van en Nouvelle-Zélande bien préparer son road trip Acheter un véhicule La location d’un van ou camping-car Qu’est-ce qu’un van self contained » ? Voyager en bus en Nouvelle-Zélande Les pass bus Hop On-Hop Off » Les tours guidés Nos petites astuces pour votre voyage Les applications indispensables Le téléphone et internet Les différents moyens de paiement Les premières questions à se poser Préparer son voyage en Nouvelle-Zélande quand partir ? Lorsqu’on commence à préparer son voyage en Nouvelle-Zélande, la première question que l’on se pose, c’est quand partir ? Pour nous, il n’y a pas de meilleure ou de moins bonne saison tout dépend de ce que l’on recherche pour son voyage. Il y a quand même quelques critères à prendre en compte, qui peuvent influer sur votre séjour et donc le rendre différent. Les saisons Tout d’abord, sachez que les saisons sont inversées en Nouvelle-Zélande. L’hiver est de juin à août, le climat est très froid, avec beaucoup de pluie dans l’île du Nord et de la neige dans l’île du Sud. À contrario, en été, de décembre à février, il peut faire très chaud et le pays est très ensoleillé. Au printemps, les températures sont agréables et douces avec aussi beaucoup de soleil à partir du mois de septembre. La haute, basse et mi-saison touristique Comme l’été rime avec grandes vacances, c’est naturellement la période de l’année à laquelle les néo-zélandais et australiens partent à la découverte du pays. De plus, c’est aussi à ce moment là que beaucoup de voyageurs arrivent pour les vacances. C’est donc la haute saison, on peut même dire, la très haute saison touristique. En ce qui concerne les locations de van, camping-car et voiture, les prix sont doublés, voire triplés. Les attractions touristiques sont également prises d’assaut il y a énormément de monde. Les campings et les endroits où l’on peut dormir gratuitement, appelés free campsites », affichent très souvent complets. Un voyage en Nouvelle-Zélande à cette période de l’année exige donc de s’y préparer en avance afin de ne pas devoir payer le triple du prix de base. C’est aussi éviter le risque de manquer certaines destinations ou activités du fait de la très grande affluence touristique. La mi-saison, lors du printemps, est idéale car beaucoup moins prisée des touristes. Les prix sont raisonnables, les températures sont un peu plus fraiches mais néanmoins agréables. On peut aussi se loger plus facilement qu’en été et à des prix moins élevés. L’hiver en Nouvelle-Zélande, c’est la basse saison. Les prix pour les locations de van, camping-car et voiture sont très bas c’est donc parfait si vous décidez de voyager avec un petit budget. Attention cependant, certaines attractions seront quant à elles fermées en hiver. Cette période plaît aussi beaucoup aux amateurs de ski ou de snowboard les stations de l’île du Sud sont réputées mondialement. Préparer son voyage en Nouvelle-Zélande combien de temps ? Certaines personnes partent en Nouvelle-Zélande dans le cadre d’un Working Holiday Visa WHV , d’un Volontariat International en Entreprise VIE ou d’études. Vous avez donc du temps pour découvrir ce magnifique pays. D’autres personnes, quant à elles, vont s’y rendre lors d’un voyage en tour du monde ou simplement pour quelques semaines de vacances. Dans ce cas, vous avez un peu moins de temps devant vous et nous vous conseillons d’optimiser ce timing. Mais alors, combien de temps est-il recommandé pour voyager sur les terres néo-zélandaises ? Nous préconisons surtout d’adapter votre voyage en fonction de la durée dont vous disposez pour votre séjour. Entre 7 et 15 jours concentrez-vous sur une seule île afin de pouvoir profiter pleinement de celle-ci et ne pas passer trop de temps sur la route. Entre 16 jours et 21 jours même si un voyage sur les deux îles est possible, nous vous conseillons plutôt de vous concentrer sur une île. Sachez qu’il existe des tours en bus, vous proposant de voir une bonne partie des deux îles. C’est assez rapide mais cela vous permet de ne pas manquer les points incontournables de la Nouvelle-Zélande, de ne pas perdre trop de temps sur la route ni de cumuler la fatigue liée à la conduite. Au-delà de 21 jours vous avez suffisamment de temps pour voir les deux îles et en profiter pleinement. Nous vous recommandons lorsque vous partez en Nouvelle-Zélande, de prévoir idéalement, au minimum 3 à 4 semaines sur place. Ainsi, vous aurez l’occasion d’avoir un excellent aperçu du pays et de ne pas être pressé par le temps. Les tâches administratives Choisir son visa Lorsqu’on commence à organiser son voyage en Nouvelle-Zélande, bien choisir son visa est une étape primordiale. Il existe une multitude d’options adaptées à vos projets. Faisons ensemble, un tour d’horizon des différentes possibilités. Visa touriste Tout d’abord, commençons avec le visa qui vous permet de partir en tant que touriste. Il s’agit d’une autorisation de voyage électronique, appelée le NZeTA. Celle-ci vous permet de voyager en Nouvelle-Zélande pendant 90 jours. Elle est valable pendant 2 ans et coûte $47 dollars néo-zélandais. Il faut bien sûr pouvoir justifier des fonds suffisants pour votre séjour et d’un billet d’avion retour. Il est possible d’en faire la demande sur le site de l’immigration. Working Holiday Visa ou Programme Vacance Travail Le Working Holiday Visa WHV ou Programme Vacance Travail PVT est possible pour tous les français âgés de 18 à 30 ans. Ce visa, valable 12 mois, vous permet de travailler, voyager ou étudier en Nouvelle-Zélande. Il vous faut pouvoir justifier d’au moins $4,200 dollars néo-zélandais en votre possession et d’une assurance de voyage. Ce visa se demande sur le site de l’immigration et son coût est de $280 dollars néo-zélandais. Visa étudiant Il est possible de venir en Nouvelle-Zélande pour étudier et obtenir un diplôme le student visa » ou visa étudiant est dans ce cas une très bonne option. Pour cela, une multitude d’options d’études s’offrent à vous. Il existe de nombreux domaines et pour toutes les bourses école d’anglais, Bachelor, Master… Enfin, sachez qu’il y a d’autres possibilités de visas, afin de rester plus longtemps en Nouvelle-Zélande. Pour plus d’informations, consultez le site de limmigration de la Nouvelle-Zélande. Le billet d’avion pour la Nouvelle-Zélande Voilà, vous avez maintenant votre visa en poche. Il vous faut à présent réserver un billet d’avion. En effet, il y a presque 19 000 kilomètres à parcourir, soit plus de 24 heures de vol pour arriver en Nouvelle-Zélande, ce n’est pas rien ! Voici donc nos quelques conseils afin de vous aider à y voir plus clair dans la recherche de votre billet d’avion. Pour commencer, nous vous conseillons de regarder les prix sur un comparateur. Cela vous donne une première idée sur le budget à prévoir. Sachez qu’il faut compter en moyenne 1200 euros pour un vol aller-retour au départ de la France. De plus, si vous êtes flexible, il est possible de trouver des dates qui offrent un meilleur prix. Enfin, n’hésitez pas à changer de ville de départ ou d’arrivée cela peut aussi faire baisser le tarif. Il y a différents aéroports internationaux, dont les principaux sont ceux d’Auckland et de Christchurch. Les prix sont souvent les plus intéressants à destination de ces villes. Par ailleurs, sachez qu’il existe de nombreuses compagnies aériennes desservant la Nouvelle-Zélande. Dont certaines sont classées parmi les meilleures au monde Singapour Airlines, Emirates ou encore Cathay Pacific… Vous avez le choix ! Chaque vol impose au moins une escale de quelques heures, alors pourquoi ne pas en profiter pour ajouter un city trip à votre voyage. Singapour, Dubaï ou Hong Kong c’est l’occasion rêvée de découvrir de charmantes villes, lors de vos quelques heures d’escale entre deux avions. Pour finir, nous vous recommandons vivement de réserver directement avec la compagnie aérienne choisie. Certes, les prix affichés sur les sites des compagnies sont parfois un peu plus chers que ceux annoncés sur les comparateurs de vol. Cependant, en cas de changement ou de souci, il est plus facile de contacter la compagnie directement. Enfin, n’oubliez pas, pour bénéficier du meilleur tarif, il n’y a pas de secret réservez votre vol en avance ! L’assurance voyage Partez en mode aventurier certes, mais partez assuré et rassuré ! Nous vous conseillons toujours d’avoir une assurance lors de vos voyages. Bien se préparer, c’est aussi penser à partir couvert et donc l’esprit tranquille. En effet, les frais médicaux sont très chers en Nouvelle-Zélande une assurance est indispensable. On vous détaille ici, toutes les options qui s’offrent à vous. Votre carte bancaire pour des voyages touristiques de courte durée, votre carte bancaire peut vous faire bénéficier d’une assurance. Renseignez-vous auprès de votre banque pour connaitre les clauses de celle-ci. Dans la plupart des cas, il faut avoir réglé votre voyage avec cette même CB et elle ne sera valable que pour des voyages touristiques de moins de 3 mois. Une assurance privée il est possible et conseillé de prendre une assurance privée pour tout voyage hors de l’Union Européenne. Pour cela, nous vous recommandons Chapka. Cet assureur propose différentes formules en fonction du type et de la durée de votre séjour. Il existe notamment une assurance spécifiquement adaptée pour les Working Holiday Visa, ou encore, une assurance pour des vacances en famille avec une option assistance et rapatriement. Pour bien préparer votre voyage en Nouvelle-Zélande, bénéficiez de 5% de réduction sur toutes les assurances Chapka CAP Working Holiday Visa Assurance spécialement dédiée pour les détenteurs d’un Working Holiday Visa. Cette formule vous permet de partir à l’autre bout du monde sans soucis ! Cap Assistance 24h/24 Spécialement conçue pour les voyages de courte durée de moins de 90 jours. Cette assurance couvre notamment les frais médicaux, l’hospitalisation et l’assistance rapatriement pour partir l’esprit léger en vacances. Cap Annulation Peur de voir son voyage annulé ? Avec cette formule, NO SOUCIS ! Bien préparer son voyage en Nouvelle-Zélande, c’est aussi… Avoir un passeport valide au moins 3 mois après la date de retour de votre voyage. Par exemple, si vous revenez en France en janvier, il vous faudra un passeport valide au moins jusqu’en avril. Prendre son permis français ET son permis international ou une traduction de votre permis en anglais. Sachez qu’en Nouvelle-Zélande, lors d’un contrôle de police ou si vous louez un véhicule, ces deux documents sont obligatoires. Pour obtenir son permis international, il faut faire une demande sur le site du service public. Cela est gratuit mais attention aux délais qui peuvent être assez longs. Il est également possible d’obtenir une traduction certifiée conforme. Pour cela, il faut faire une demande de traduction de permis auprès d’un traducteur agrée, le coût est d’environ $40 dollars néo-zélandais. Voilà donc une liste non exhaustive des tâches administratives afin de bien préparer son voyage en Nouvelle-Zélande. Voyager en van en Nouvelle-Zélande Acheter un véhicule Faire le choix d’acheter un van offre une certaine liberté durant votre voyage. C’est une superbe idée pour un séjour de plus de 2 mois. En dessous de cette durée, cela n’est pas vraiment rentable et peut-être contraignant. En effet, lorsqu’on investit dans un véhicule, il faut penser à certaines choses budgétiser le coût d’achat et de l’assurance, préparer les démarches administratives, prévoir l’entretien et anticiper la revente. Nous vous avons détaillé dans cet article toutes les étapes importantes afin de préparer au mieux l’achat d’un véhicule en Nouvelle-Zélande. La location d’un van ou camping-car pour votre road trip La location d’un van, d’un camping-car ou de tout autre véhicule est idéale pour un séjour sans prise de tête. En effet, vous n’avez pas besoin de vous soucier des procédures administratives ou de l’entretien du véhicule. Et en plus, vous bénéficiez d’une assistance pendant tout votre séjour en cas de pépin. Voici nos petits conseils pour bien préparer son voyage en Nouvelle-Zélande et anticiper la location du véhicule Nous demander un devis on vous dégotera le meilleur tarif ! S’y prendre en avance Avoir des dates flexibles Voyager hors saison en été les prix sont plus chers Toujours avoir une assurance Voyager de Christchurch vers Auckland car cela peut vous coûter moins cher Qu’est-ce qu’un van self contained » ? On entend souvent parler de self contained pour les vans, mais kézako ? Le terme self contained est une certification attribuée aux véhicules qui respectent les normes en vigueur afin d’être autonome et pouvant conserver les eaux usées pendant quelques jours. Ainsi, ces véhicules self contained doivent posséder une poubelle avec un couvercle, un réservoir pour les eaux grises eaux domestiques faiblement polluées , un réservoir d’eau douce, un évier avec siphon relié à un réservoir et des toilettes portables ou fixes. Mais pour quoi faire ? En Nouvelle-Zélande, il n’est pas possible de dormir partout avec un van. Certains camps gratuits ou parc nationaux ne sont accessibles que pour les véhicules certifiés self contained ». Si votre véhicule ne l’est pas, le camping est interdit et attention à vous les rangers contrôlent souvent et les amendes sont salées. Voyager en bus en Nouvelle-Zélande En Nouvelle-Zélande, il est aussi tout à fait possible de voyager en bus. Il existe un large choix de compagnies proposant des formules flexibles afin de vous permettre de choisir ce qui convient le mieux au type de voyageur que vous êtes. Afin de vous aider à préparer votre voyage en bus, nous vous détaillons ici les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Préparer son voyage en BUS en Nouvelle-Zélande le pass Hop on / Hop Off L’option la plus flexible c’est le pass bus que l’on appelle le Hop On / Hop Off. C’est idéal pour les personnes qui souhaitent avoir la liberté d’organiser leur road trip comme ils le veulent. En effet, ce pass vous permet de choisir la durée de votre voyage, les villes que vous souhaitez visiter et y ajouter les activités et hébergements de votre choix. Vous pouvez rester à un endroit autant de jours que vous le voulez, puis reprendre la route quand vous en avez envie. Cette option est ultra flexible et vous permet de créer un voyage 100% personnalisable. À cela, vous devez ajouter les nuits en auberge de jeunesse, les activités et les visites que vous aimeriez faire pendant votre road trip. Ce système de voyage est parfait pour les personnes qui voyagent seules et qui envisagent de rencontrer d’autres voyageurs, tout en gardant la liberté d’organiser leur voyage comme elles le souhaitent. C’est aussi très judicieux pour ceux qui ont un temps limité, qui appréhendent la conduite à gauche ou qui tout simplement ne souhaitent pas voyager en van. Pour finir, sachez qu’il existe différentes formules des pass dédiés à l’île du Nord, à l’île du Sud ou bien aux deux îles. De plus, les durée de voyage sont plus ou moins longues pour proposer un très large choix de séjours, adaptés à ce que vous recherchez. Préparer son voyage en tour guidé en Nouvelle-Zélande Il existe également des séjours tout compris pour découvrir la Nouvelle-Zélande. Ce sont des tours en groupe avec un guide incluant le transport, l’hébergement, certaines activités et certains repas. Cela vous permet de partir pour un voyage sans prise de tête et avec un minimum d’organisation au préalable, il suffit simplement de se laisser guider. C’est un excellent moyen pour rencontrer du monde et voyager en groupe afin de partager une aventure exceptionnelle à plusieurs. Cela permet d’en apprendre d’avantage sur le pays et de découvrir la culture néo-zélandaise avec un guide local. Cette expérience offre également un voyage hors des sentiers battus avec des visites de lieux souvent moins connus des touristes. Tout comme pour les pass Hop on / Hop off, il existe différents types de tours. En effet, certaines compagnies axent leur expérience sur l’aventure, la fête ou plutôt la découverte et la culture. Enfin, elles proposent différentes durées de voyage de 7 jours à 1 mois permettant de satisfaire le plus grand nombre de voyageurs. N’hésitez pas à nous poser vos questions sur les tours ou les pass bus en Nouvelle-Zélande. Nous pouvons vous détailler toutes les offres et disponibilités pour votre futur voyage. Nos petites astuces pour votre voyage Les applications indispensables Bien préparer son voyage en Nouvelle-Zélande, c’est aussi connaître toutes les applications mobiles utiles pendant votre road trip. Celles qui vous rendront la vie de tous les jours bien plus facile. En effet, il existe des applications indispensables pour un voyage au top en Nouvelle-Zélande Wikicamps payant cette application référence tous les camps gratuits et payants de la Nouvelle-Zélande. C’est très utile et cela vous permettra de trouver facilement un coin sympa pour dormir et de consulter les avis des autres voyageurs. Xe Currency cela vous permet de faire la conversion rapidement entre le dollar néo-zélandais et l’euro. Mapsme vous permet d’avoir accès à une carte et un GPS, même sans internet. Il faut simplement télécharger la carte du pays au préalable. En plus, cette application marche dans le monde entier ! Gaspy moyen de comparer le prix des stations essence. Cela permet d’aller dans les stations les moins chères et donc de faire quelques économies. Triccount système permettant d’enregistrer toutes les dépenses effectuées par tous les voyageurs pendant votre voyage. Plus besoin de compter qui doit de l’argent à qui, l’application s’en charge pour vous. Téléphone & Internet L’accès au téléphone et à internet est très facile en Nouvelle-Zélande. Nous vous recommandons de prendre une carte sim prépayée dès votre arrivée sur le territoire. Une sim coûte environ $2 dollars néo-zélandais et vous en trouverez à l’aéroport. Il est possible ensuite de recharger à sa convenance son credit téléphonique. Comptez entre $30 et $40 dollars néo-zélandais pour un crédit valable 1 mois avec appels illimités, messages illimités et quelques gigas d’internet. Vodafone et Spark sont les fournisseurs les plus connus et offrent une couverture sur tout le pays. Les différents moyens de paiement Nous vous recommandons vivement de prévoir votre moyen de paiement pour la Nouvelle-Zélande avant votre départ. Sinon, attention aux frais bancaires qui sont exorbitants lorsqu’on utilise sa carte bancaire à l’international. Pour cela, il existe plusieurs options Autoriser les paiements internationaux avec sa banque française ou prendre une option spécialement conçue pour les paiements à l’international. Prendre une carte internationale avec la banque en ligne Revolut. La carte, les retraits d’argent et les paiements sont gratuits. Elle est utilisable dans beaucoup de pays dans le monde. Pour ceux qui reste plus longtemps, nous vous recommandons d’ouvrir un compte avec une banque néo-zélandaise. C’est très facile, rapide et souvent gratuit lorsqu’on possède un working holiday visa. Voilà, c’est la fin de notre article qui vous dévoile tous les secrets pour bien préparer son voyage en Nouvelle-Zélande. Il ne vous reste plus qu’à faire votre valise et partir ! On espère surtout, que maintenant vous y voyez bien plus clair. Mais surtout n’oubliez pas si vous avez la moindre question, demandez-nous. On se fera un plaisir de vous répondre. À bientôt les All Arounders !
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