MontsKilimandjaro. C’est cette appellation qui prend corps avec l’état actuel de la hauteur des accumulations des tonnes de dĂ©chets de ces deux dĂ©pĂŽts de transit de MĂ©dina-Coura (Commune II) et de Lafiabougou (Commune IV) du District de Bamako. À notre arrivĂ©e sur lesdits sites, vendredi 1 er mars dernier, rien ne semblait bouger. À quelques pĂ©rimĂštres, on 365jours par an, 7 jours/7, 24 heures/24, les femmes et les hommes Le recrutement des militaires techniciens de l’air (MTA) est prioritairement local. Toutefois, en fonction des besoins de l’ArmĂ©e de l’air et du souhait exprimĂ©, je peux ĂȘtre affectĂ©(e) sur base aĂ©rienne au niveau national. SOLDE MENSUELLE* ‱ Aviateur : 1.296 € net ˜ Caporal : 1.376 € net ‱ Caporal-chef : 1.405 € net DescriptionmĂ©tier. L’ agent de sĂ»retĂ© aĂ©roport a plusieurs fonctions selon son poste de travail. Il ou elle accueille les passagers pour les faire passer en salle d’embarquement. Il ou elle invite Selonune journaliste de l'agence de presse allemande DPA, des rĂ©fugiĂ©s au poste-frontiĂšre de Medyka-Shehyni ont fait Ă©tat de longues heures d'attente du cĂŽtĂ© ukrainien, y compris pour les personnes qui souhaitent traverser la frontiĂšre Ă  pied. 9h10 : "3.500 soldats russes tuĂ©s" depuis le dĂ©but de l'offensive, selon l'armĂ©e ukrainienne L'armĂ©e russe s'est emparĂ©e de la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie, dans le sud-est de l'Ukraine, selon les autoritĂ©s rĂ©gionales vendredi matin sur les rĂ©seaux sociaux.- Quelques heures OvND0T. Chauffeurs, magasiniers, spĂ©cialistes rĂ©seaux, etc. L'ArmĂ©e de l'Air et de l'Espace recrute 55 garçons et filles, ĂągĂ©s de 17 Ă  29 ans, pour la base aĂ©rienne105 d'Evreux. Par Charles Giovacchini PubliĂ© le 21 FĂ©v 21 Ă  2016 L’armĂ©e de l’air recrute Ă  tous les niveaux. ©DREn expansion continue depuis des annĂ©es, la base aĂ©rienne 105 BA105 d’Evreux Eure poursuit son dĂ©veloppement. Alors qu’elle se prĂ©pare Ă  accueillir le premier un escadron franco-allemand l’Histoire, elle recrute 55 jeunes dans diffĂ©rents mĂ©tiers. Des mĂ©tiers et des formationsComment intĂ©grer l’ArmĂ©e de l’air ? Le major Thierry du Cirfa Air Centre d’Information et de Recrutement des Forces ArmĂ©es rappelle qu’il faut avoir participĂ© Ă  la JournĂ©e DĂ©fense et CitoyennetĂ© JDC et passer des tests de sĂ©lection ». C’est le la base, des jeunes de la rĂ©gion viennent rĂ©guliĂšrement participer aux Cadets de la DĂ©fense, Ă  l’escadrille Air Jeunesse, avant, pour certains, de rejoindre le cercle des 500 hommes et femmes font fonctionner la base militaire d’Evreux, dans diffĂ©rents mĂ©tiers. FormĂ©s par l’ArmĂ©e de l’Air et de l’Espace, les jeunes motivĂ©s et sĂ©rieux ont de rĂ©elles possibilitĂ©s de gravir des Ă©chelons, suivre de nouvelles formations, et monter en grade en accĂ©dant Ă  de plus en plus de responsabilitĂ©s. La porte est offres disponibles sur la base* 11 assistants administratifs BEP/BAC Pro ou expĂ©rience dans le domaine ils participent aux travaux d’administration et de gestion de personnel rĂ©munĂ©ration, mobilitĂ©, gestion des carriĂšres, formation continue, gestion de planning, organisation de dĂ©placements, prĂ©paration de rĂ©unions, accueil des visiteurs
* 8 magasiniers niveau 3e Ă  BAC + Permis B ils exĂ©cutent des actions logistiques, de rĂ©ception, d’identification, de stockage, de suivi, de distribution, de conditionnement, d’expĂ©dition, et de saisie d’informations dans les systĂšmes d’information logistique.* 4 chauffeurs routiers Niveau 3e Ă  BAC Pro + Permis B chauffeurs d’autoritĂ© avec des vĂ©hicules lĂ©gers, de transport en commun ou du transport de fret avec des vĂ©hicules de type poids lourd. PossibilitĂ© de passer plusieurs permis TC, PL
 avec l’ArmĂ©e de l’Air et de l’ en ce moment sur Actu* 4 ouvriers Ă©lectrotechniciens CAP/BEP/BAC Pro + Permis B ils participent aux opĂ©rations de modification, de mise en place, de rĂ©paration ou d’entretien sur des installations Ă©lectriques basse et haute tension, de froid et de climatisation, d’alimentation de secours en Ă©nergie
 Ils procĂšdent Ă  des relevĂ©s et des mises Ă  jour de documents techniques. Ils participent Ă  la maintenance du balisage aĂ©ronautique. Ils assurent les permanences dans une centrale Ă©lectrique.* 4 agents polyvalents restauration CAP/BEP/BAC Pro employĂ©s sur des postes en restauration collective cuisine, magasin, service en salle
, ils rĂ©alisent de hautes prestations gastronomiques. Ils participent au fonctionnement de l’ensemble du service de restauration prĂ©paration des aliments, Ă©laboration des plats, service en salle et des activitĂ©s rattachĂ©es point de vente, hĂŽtellerie. Ils veillent Ă  l’hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ©. Agents du transit, magasiniers, opĂ©rateurs rĂ©seaux, mĂ©caniciens, etc. ©DR* 4 opĂ©rateurs rĂ©seaux informatiques CAP/BEP/BAC Pro ils assurent la mise en Ɠuvre et la maintenance de systĂšmes d’information et de communication sol en service sur les bases aĂ©riennes. Ils participent au dĂ©ploiement et Ă  l’entretien des Intranets et autres systĂšmes de tĂ©lĂ©communication, des rĂ©seaux et matĂ©riels informatiques serveurs, postes de travail, des systĂšmes de messagerie et d’annuaires Ă©lectroniques. Ils interviennent en soutien auprĂšs des utilisateurs.* 3 agents du transit aĂ©rien niveau 3e Ă  BAC Pro + Permis B ils rĂ©ceptionnent le fret rĂ©ception des matĂ©riels, chargement et dĂ©chargement des avions
. Ils prĂ©parent le fret pour son transport groupage des marchandises, palettisation, conditionnement. Ils assurent l’accueil des passagers accueil, procĂ©dures
 ainsi que l’accueil et le chargement des aĂ©ronefs chasse, transport, hĂ©licoptĂšres.* 3 mĂ©caniciens vĂ©hicules CAP/BEP/BAC Pro ou expĂ©rience dans le domaine + Permis B Ils s’assurent seul ou en Ă©quipe des opĂ©rations de mise en Ɠuvre, d’entretien et de remise en Ă©tat sur des vĂ©hicules aĂ©roportuaires, tout terrain, poids lourds, de lutte incendies, mais aussi sur des groupes Ă©lectrogĂšnes, des matĂ©riels de levage et de manutention.* 2 ouvriers de maintenance aĂ©ronautique CAP/BEP/BAC Pro ils interviennent au profit des unitĂ©s aĂ©ronautiques en tant qu’acteur essentiel dans le domaine technique aĂ©ronautique et garant de la disponibilitĂ© des aĂ©ronefs. Ils exĂ©cutent des opĂ©rations de mise en Ɠuvre et de maintenance sur aĂ©ronefs permettant de mener Ă  bien les opĂ©rations aĂ©riennes en toutes circonstances, en tout temps et en tout point du globe.* 2 Ă©quipiers pompier Niveau 3e Ă  BAC Pro + Permis B ils interviennent sur des incendies d’aĂ©ronefs pour sauver la vie du personnel Ă  bord. Ils assurent la sauvegarde prĂ©ventive du personnel, des aĂ©ronefs et des installations de la base aĂ©rienne. Ils assurent les fonctions de veille au sein d’un poste de coordination. Ils effectuent la maintenance, le suivi et la gestion des matĂ©riels incendie.* 2 agents d’opĂ©rations BAC/BAC Pro ils aident le pilote dans la prĂ©paration des missions en exploitant les informations liĂ©es Ă  la sĂ©curitĂ© et Ă  la rĂ©gularitĂ© des vols. Au cƓur des opĂ©rations aĂ©riennes, ils mettent Ă  jour la documentation aĂ©ronautique et le tableau de suivi d’activitĂ© opĂ©rationnelle
* 2 Ă©quipiers fusilier de l’air Niveau 3e ils assurent la protection de la force aĂ©rienne sur le territoire national comme sur les théùtres d’opĂ©rations extĂ©rieures. Ils contrĂŽlent les accĂšs aux points les plus sensibles. Ils effectuent des patrouilles afin de dissuader, dĂ©tecter et intervenir pour retarder et neutraliser tout acte de malveillance. Ils mettent en Ɠuvre diverses techniques de combat
* 2 Ă©quipiers maĂźtre-chien Niveau 3e ils assurent la protection de la force aĂ©rienne sur le territoire national comme sur les théùtres d’opĂ©rations extĂ©rieures. Ils s’occupent de leur chien dressage, conduite, hygiĂšne
. Ils effectuent des patrouilles afin de dissuader, dĂ©tecter et intervenir pour retarder et neutraliser tout acte de malveillance. Ils mettent en Ɠuvre diverses techniques de combat
* 1 ouvrier polyvalent bĂątiment CAP/BEP/BAC Pro ils interviennent dans tous les corps de mĂ©tiers du bĂątiment gros Ɠuvre et finitions, installations sanitaires et thermiques, amĂ©nagement intĂ©rieur et dĂ©coration
* 1 ouvrier de maintenance armement CAP/BEP/BAC Pro ils exĂ©cutent les opĂ©rations de mise en Ɠuvre et de maintenance de l’armement et du systĂšme de sauvetage des aĂ©ronefs avions de chasse, de transport, hĂ©licoptĂšres en unitĂ© aĂ©ronautique ou terrestre
* 1 assistant mĂ©catronicien CAP/BEP/BAC Pro ils assurent la mise en Ɠuvre et la maintenance de systĂšmes trĂšs variĂ©s dans les domaines de la communication, de la navigation et de la surveillance sol-sol et sol-air en service sur les bases rĂ©pondre Ă  ces offres, prendre rendez-vous au 02 76 27 88 34 ou au [email protected]Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre La DĂ©pĂȘche Évreux dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. PrĂšs de la frontiĂšre ukrainienne, c'est un vĂ©ritable ballet qui s'organise chaque jour dans ce site tenu secret pour expĂ©dier discrĂštement des tonnes d'assistance militaire. Par RĂ©daction Actu PubliĂ© le 12 Mar 22 Ă  800 Des soldats ukrainiens chargent sur un camion des missiles FGM-148 Javelin antitanks livrĂ©s par avion par les Etats-Unis Ă  l’aĂ©roport Boryspil de Kiev, le 11 fĂ©vrier 2022. ©AFP/Sergei SUPINSKY14 avions gros-porteurs par jour sur cette piste d’atterrissage proche de la frontiĂšre avec l’Ukraine, un ballet s’organise pour expĂ©dier discrĂštement les tonnes d’assistance militaire qu’une vingtaine de pays occidentaux ont promis d’envoyer Ă  l’armĂ©e chef d’état-major amĂ©ricain, le gĂ©nĂ©ral Mark Milley, a inspectĂ© vendredi 4 mars 2022 ce site dont la localisation est gardĂ©e secrĂšte pour des raisons de sĂ©curitĂ©, et qui est gĂ©rĂ© par 22 pays, coordonnĂ©s par les armes ne restent pas sur les lieuxLes quelques journalistes accompagnant le plus haut gradĂ© amĂ©ricain, qui n’ont pas pu prendre de photos, ont vu une centaine de lance-missiles antichars Javelin en cours de chargement Ă  destination de la frontiĂšre. Les palettes de missiles simplement recouverts de cellophane Ă©taient dĂ©placĂ©es par des chariots Ă©lĂ©vateurs, manƓuvrĂ©s par des hommes en la piste d’atterrissage, la soute d’un avion de transport amĂ©ricain C-17 de l’US Air Force venait de se refermer, sa livraison effectuĂ©e. Un deuxiĂšme C-17 Ă©tait en train d’ armes ne restent pas sur les lieux elles sont immĂ©diatement chargĂ©es sur des vĂ©hicules d’apparence neutre et expĂ©diĂ©es par voie terrestre, expliquent les militaires. Les rotations aĂ©riennes peuvent aller jusqu’à 18 par jour. Sur ce nombre, seuls quatre ou cinq chargements sont ballet est coordonnĂ© par des soldats et des civils, principalement de pays membres de l’Otan, venus soutenir l’Ukraine dans son combat contre l’armĂ©e russe plus nombreuse et mieux missiles, carburants, munitionsOutre les Etats-Unis, qui ont dĂ©bloquĂ© plus d’un milliard de dollars d’aide militaire Ă  l’Ukraine sur l’annĂ©e Ă©coulĂ©e, de nombreux pays europĂ©ens fournissent Ă  Kiev des lance-roquettes antichars, mais aussi des missiles anti-aĂ©rien Stinger, des blindĂ©s, du carburant, des munitions, des fusils d’assaut, des rations de campagne, pour permettre Ă  l’armĂ©e ukrainienne de rĂ©sister. Les Etats-Unis ont dĂ©jĂ  livrĂ© plus des deux tiers des armes promises fin fĂ©vrier Ă  l’Ukraine, qui en fait un usage efficace » pour ralentir l’avancĂ©e des forces russes, a prĂ©cisĂ© vendredi une responsable du ailleurs, l’invasion russe ayant Ă©branlĂ© et inquiĂ©tant profondĂ©ment les pays d’Europe de l’Est qui ont rejoint l’Otan, les Etats-Unis y ont envoyĂ© des milliers de soldats supplĂ©mentaires pour les sont notamment dĂ©ployĂ©s en Pologne oĂč le gĂ©nĂ©ral Milley a rendu visite aux soldats de la 82e division aĂ©roportĂ©e dans le grand camp d’entraĂźnement polonais de Nowa Deba, dans le sud-est du communsPour renforcer l’interopĂ©rabilitĂ© des forces polonaises et amĂ©ricaines, les soldats des deux pays ont depuis deux semaines multipliĂ© les exercices communs, comme celui prĂ©sentĂ© vendredi au chef d’état-major blindĂ©s amĂ©ricains ont simulĂ© une attaque que des soldats polonais Ă  bord de chars de combat Leopard surgissant d’une forĂȘt de bouleaux, Ă©paulĂ©s par des blindĂ©s amĂ©ricains, ont soldats sont lĂ  pour renforcer l’idĂ©e que les Etats-Unis sont un membre Ă  part entiĂšre de l’Alliance atlantique et que nous avons toute intention de remplir nos obligations selon l’article 5 de l’Otan », a dĂ©clarĂ© le chef d’état-major amĂ©ricain. Cet article prĂ©voit une intervention des autres membres de l’alliance en cas d’attaque armĂ©e contre l’un d’entre chef des forces terrestres amĂ©ricaines en Europe, le gĂ©nĂ©ral Chris Cavoli, qui supervise ce dĂ©ploiement, s’est fĂ©licitĂ© de la mobilisation sans prĂ©cĂ©dent des forces de l’Otan depuis deux semaines. Je n’ai jamais vu l’Otan aussi unifiĂ© », a-t-il n'ai jamais vu la dĂ©termination et la prĂ©paration concrĂšte au combat que je constate maintenant au sein des forces terrestres de l'alliance. C'est le flot de rĂ©fugiĂ©sLe gĂ©nĂ©ral Milley a ensuite visitĂ© le centre d’accueil mis en place peu avant l’invasion pour accueillir d’éventuels AmĂ©ricains fuyant les combats. SituĂ© dans un centre de confĂ©rences de Rzeszow sud, ce centre d’accueil capable d’hĂ©berger temporairement jusqu’à 2 500 personnes, n’a pas encore Ă©tĂ© utilisĂ©. Mais il pourrait accueillir des rĂ©fugiĂ©s si l’exode des Ukrainiens s’ par le gĂ©nĂ©ral Chris Donahue, connu pour avoir Ă©tĂ© le dernier soldat amĂ©ricain Ă  quitter l’aĂ©roport de Kaboul fin aoĂ»t, le centre G2 Arena abrite aussi le quartier gĂ©nĂ©ral provisoire de la 82e division en Pologne, ainsi qu’un centre opĂ©rationnel lĂ , les soldats de la 82e division surveillent le flot de rĂ©fugiĂ©s arrivant aux frontiĂšres polonaises et analysent la progression des combats en Ukraine, pour assurer autant que possible la sĂ©curitĂ© des envois d’armement occidentaux vers l’armĂ©e © 2022 AFPCet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. PrĂ©sentation du mĂ©tier agent de transit Naviguez les diffĂ©rentes Ă©coles qui peuvent vous permettre de devenir agent de transit Aucun rĂ©sultat DĂ©solĂ©, aucun rĂ©sultat ne correspond Ă  vos critĂšres de recherche. Cliquez ici pour retourner Ă  la page d'accueil. Retour En devenant responsable du transit aĂ©rien, vous organisez et supervisez les opĂ©rations techniques et administratives de chargement, dĂ©chargement, embarquement, dĂ©barquement. PROFIL MISSION FORMATION CONDITIONS D'ACCÈS ME PRÉPARER LOCALISATION CARRIÈRE Les conditions que vous devez remplir pour vous engager en tant que responsable du transit aĂ©rien Vous avez la nationalitĂ© française Vous avez moins de 30 ans Ă  la date de signature du contrat Vous ĂȘtes titulaire d’un Bac +3 Vous ĂȘtes titulaire du permis B Vous avez passĂ© avec succĂšs les tests de sĂ©lection dont tests mĂ©dicaux liĂ©s Ă  la spĂ©cialitĂ© Votre rĂŽle de responsable du transit aĂ©rien du transit aĂ©rien Organiser et superviser l’activitĂ© de l’organisme sur le plan technique et opĂ©rationnel Organiser et superviser les opĂ©rations techniques et administratives de chargement / dĂ©chargement, embarquement / dĂ©barquement depuis la prĂ©paration amont jusqu’à la mise Ă  bord ContrĂŽler l'application des consignes de sĂ©curitĂ© Planifier l'activitĂ© des Ă©quipes selon le programme de vol, les escales et mettre en place les mesures correctives en cas de retard Superviser des opĂ©rations d’exploitation aĂ©roportuaire sur les aires dĂ©diĂ©es aux aĂ©ronefs de passage Établir et coordonner le plan de charge de l’organisme Suivre et analyser les donnĂ©es d'activitĂ© et proposer des axes d'Ă©volution Votre parcours de formation pour devenir responsable du transit aĂ©rien La formation militaire initiale est de douze semaines Ă  l’École de l’air Ă  Salon-de-Provence Bouches-du-RhĂŽne. Votre formation professionnelle se prĂ©sente de la maniĂšre suivante 2 semaines de spĂ©cialisation au sein du Centre d’Instruction du Transit InterarmĂ©es AĂ©rien CITIA Ă  Istres. Vous aurez Ă©galement une formation complĂ©mentaire pour les opĂ©rations de transit multimodales aux Ecoles Militaires de Bourges. Les conditions d'accĂšs pour devenir responsable du transit aĂ©rien La rĂ©ussite aux tests de sĂ©lections La rĂ©ussite aux Ă©preuves spĂ©cifiques Les rĂ©sultats d'aptitude aux tests mĂ©dicaux La validation des acquis au cours de chaque phase de formation Les tests de sĂ©lections pour devenir responsable du transit aĂ©rien Se prĂ©parer aux Ă©preuves de sĂ©lections ici En tant que responsable du transit aĂ©rien vous pouvez ĂȘtre affectĂ© Sur les bases aĂ©riennes d'Évreux, de Villacoublay, d'Istres, et d'OrlĂ©ans Sur la localitĂ© suivante MĂ©rignac Les possibilitĂ©s d'Ă©volution de carriĂšre en tant que responsable du transit aĂ©rien Jeune aspirant, vous faites vos armes au sein d’une unitĂ© de logistique ou une division d’Etat-Major du milieu aĂ©ronautique AprĂšs quelques annĂ©es d’expĂ©rience, du grade de sous-lieutenant Ă  capitaine, vous aurez accĂšs Ă  des postes d’adjoint de division dans un organisme de logistique. Au grade de capitaine, ayant acquis une solide expĂ©rience technique et managĂ©riale, les Formations GĂ©nĂ©rales de niveau 1 et 2 peuvent vous permettre d’accĂ©der Ă  des emplois d’expertise et d’encadrement rĂ©servĂ©s aux officiers supĂ©rieurs. Suivant la qualitĂ© des services rendus et les besoins de l’armĂ©e de l'Air et de l'Espace, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier d’une intĂ©gration passage au statut de carriĂšre Ă  diverses Ă©tapes de son cursus. RÉMUNÉRATION Votre solde en tant que responsable du transit aĂ©rien DĂšs l'entrĂ©e en formation militaire 1 328€ NET* À l’obtention du grade d'aspirant, votre solde est de 1 408 € NET* A l'obtention du grade de sous-lieutenant, votre solde est de 1 810 € NET* A l'obtention du grade de lieutenant, votre solde est de 1 958 € NET* A savoir des indemnitĂ©s peuvent s'ajouter Ă  cette solde de base selon votre situation familiale et votre affectation gĂ©ographique. * Solde pour un cĂ©libataire sans enfant, non logĂ© sur base * A titre indicatif, hors primes et indemnitĂ©s ; solde pour un cĂ©libataire sans enfant logĂ© sur base. L'accĂšs Ă  chaque grade est soumis Ă  la parution d'un dĂ©cret de nomination. VOS AVANTAGES EN TANT QU’AVIATEUR 45 jours de permission par an 75 % de rĂ©duction sur les tarifs SNCF pour vous, et jusqu’à 50 % pour votre conjoint et vos enfants Une solde Ă©gale que vous soyez un homme ou une femme Une aide au logement en tant qu’aviateur et l’hĂ©bergement possible sur base pour les nouveaux engagĂ©s Le lavage de cerveau et l'exploitation de la gĂ©nĂ©ration Y dans les start-ups, je l'ai vĂ©cu pendant 4 ans et j'ai choisi de le raconter Parce que je ne vois jamais de contre-discours sur ce nouveau rĂȘve californien mondialisĂ©, sur son idĂ©ologie "totalitaire" et sa novlangue propagandiste. C'est Ă  vingt-trois ans, en 2011, lorsque je suis arrivĂ©e Ă  Berlin, que j'ai pĂ©nĂ©trĂ© un peu malgrĂ© moi dans l'univers merveilleux des start-ups. J'ai travaillĂ© pour une douzaine d'entre elles pendant prĂšs de quatre ans. Dans mon livre "Bienvenue dans le nouveau monde. Comment j'ai survĂ©cu Ă  la coolitude des start-ups" lire l'extrait en fin de tribune, je dĂ©voile leur idĂ©ologie "totalitaire", leur langage qui s'assimile Ă  de la propagande, et dĂ©nonce ainsi le lavage de cerveau de ceux qui y travaillent trop longtemps -des jeunes de la gĂ©nĂ©ration Y pour la plupart. Ceux qui vivent une nouvelle forme de prĂ©caritĂ© qui ne dit pas son nom. Ceux Ă  qui l'on fait croire que Google et Facebook sont les nouveaux messies, la Silicon Valley une Mecque ultra-dĂ©sirable et les start-ups, les agents d'une nouvelle rĂ©volution. Le monde n'est pourtant pas meilleur depuis. Nous sommes en pleine campagne prĂ©sidentielle et il est plus que jamais nĂ©cessaire d'enlever les lunettes roses, d'ouvrir les yeux sur la rĂ©alitĂ© qui se cache derriĂšre ce nouveau rĂȘve californien dĂ©sormais mondialisĂ©. Dans les mĂ©dias, je ne vois jamais de contre-discours. On n'entend jamais les petites mains qui souffrent en coulisse. La start-up idĂ©ale, valorisĂ©e Ă  plus d'un milliard de dollars, est d'ailleurs nommĂ©e "licorne", preuve de plus s'il en fallait qu'il s'agit bel et bien d'un fantasme. Avec le "pacte numĂ©rique" notamment, le gouvernement veut faire de la France une "start-up nation", on se donne pour but d'Ă©galer les GAFA... Un vƓu bien hĂ©roĂŻque! On met les start-ups et leurs PDG sur un piĂ©destal alors que 90% de ces entreprises Ă©chouent1 et qu'on ne s'intĂ©resse pas aux petites mains qui Ɠuvrent loin du feu des projecteurs. Certes, j'ai travaillĂ© en Allemagne, oĂč le code du travail n'est pas le mĂȘme qu'en France, mais dans l'Hexagone, nous ne sommes pas Ă  l'abri des CDD Ă  rĂ©pĂ©tition, des contrats prĂ©caires, des emplois dĂ©guisĂ©s sous des stages... La lĂ©gislation n'est que le terreau du phĂ©nomĂšne, elle peut lui permettre de germer mais elle se fait vite engloutir elle a en face d'elle des mĂ©thodes mondialisĂ©es et maintes fois Ă©prouvĂ©es, ainsi qu'un discours de propagande redoutablement sexy, devenu universel. Quand j'ai commencĂ© Ă  travailler pour des start-ups, je n'Ă©tais pas complĂštement naĂŻve. J'Ă©tais dĂ©jĂ  graphiste en freelance, j'avais travaillĂ© dans une radio parisienne et pour plusieurs entreprises dont une grande agence de publicitĂ©. Je signais parallĂšlement mes premiers contrats d'Ă©dition pour publier mes bandes dessinĂ©es chez Dargaud et Futuropolis2. À Berlin, le seul secteur qui avait l'air vraiment dynamique Ă©tait celui des start-ups. J'ai donc postulĂ©, proposant mes compĂ©tences de graphiste et de conceptrice-rĂ©dactrice afin de complĂ©ter mes revenus et de m'intĂ©grer dans mon nouveau cadre de vie germanophone et anglophone. Je n'Ă©tais pas totalement dĂ©diĂ©e Ă  ces emplois, je ne rentrais pas complĂštement dans le moule du startuppeur idĂ©al, mais je m'y suis investie avec sĂ©rieux. Parfois, j'y ai cru. La distance que j'ai rĂ©ussi Ă  prendre avec le temps a fait de moi, sans le vouloir, une parfaite espionne. La dĂ©sillusion m'a trĂšs vite gagnĂ©e. Si je n'avais pas eu d'autres activitĂ©s passionnantes et rĂ©munĂ©ratrices en dehors de mes petits contrats pour des start-ups, je pense que la situation aurait Ă©tĂ© autrement plus tragique. Aujourd'hui, je travaille occasionnellement pour deux ou trois start-ups en tant que traductrice freelance et cela se passe bien. Je suis payĂ©e correctement, et pas avec trois mois de retard. Mon travail est respectĂ©, j'ai des briefs comprĂ©hensibles et des retours constructifs. Mais cela reprĂ©sente seulement trois start-ups sur une douzaine oĂč j'ai travaillĂ©, voire sur vingt-cinq si je compte celles que j'ai connues via des entretiens —à l'issue desquels je me suis enfuie en courant. Parmi les employĂ©s, il y avait d'un cĂŽtĂ© les convaincus, qui rentraient parfaitement dans le moule et se sentaient Ă  leur place, et de l'autre ceux qui le vivaient mal et ont parfois fait de vraies dĂ©pressions. Les contestataires et les sceptiques comme moi Ă©taient largement minoritaires. Les rĂ©munĂ©rations sont trĂšs faibles dans les start-ups, sans compter le fait que l'on doit souvent apporter son propre matĂ©riel de travail ordinateur portable et smartphone. On disait qu'on avait une chance inouĂŻe de travailler lĂ , il Ă©tait donc facile de nous convaincre d'apporter notre matĂ©riel. C'Ă©tait un moindre mal! Je gagnais assez pour vivre sans chichis Ă  Berlin mais je n'aurais pas pu survivre Ă  Paris avec le mĂȘme salaire. Surtout, les contrats prĂ©caires et limitĂ©s dans le temps ne m'ont jamais ouvert les droits au chĂŽmage. Ce n'Ă©tait jamais le problĂšme de mes employeurs ni mĂȘme celui des DRH, pour qui s'inquiĂ©ter de ces choses-lĂ  trahissait mĂȘme un "manque d'ambition". Chez The Base*, en 2013, je touchais 960 euros bruts pour un poste de "country manager". Je payais 300 euros de loyer, car, par chance j'avais trouvĂ© une sous-location avec mon compagnon. Je n'aurais jamais pu obtenir un vrai contrat de location. Chez les concurrents de Airbnb, on m'a proposĂ© un poste de SEO manager responsable du rĂ©fĂ©rencement Ă  temps plein pour 650 euros bruts par mois. J'ai refusĂ© et leur ai ri au nez. Mais en 2011, il n'y avait pas de salaire minimum en Allemagne et tout cela Ă©tait bien lĂ©gal3. Leur open space Ă©tait plein Ă  craquer de jeunes diplĂŽmĂ©s polyglottes. Le plus triste, au-delĂ  de la prĂ©caritĂ©, c'est toute cette Ă©nergie gĂąchĂ©e. Quand je vois les "concepts" de nombreuses start-ups, je me demande si on ne devrait pas utiliser tous ces talents pour quelque chose de vraiment innovant et utile. Et humain, tant qu'Ă  faire. Car l'hĂ©roĂŻsme, ce n'est pas Ă  la portĂ©e de tout le monde. J'ai appris rĂ©cemment l'existence d'une start-up en France qui propose de livrer des repas en haut des pistes de ski. Oui, c'est vrai, on a tous un creux aprĂšs quelques descentes en slalom. Mais est-ce vraiment avec de telles inventions que l'on "change le monde"? Les consĂ©quences sociales de tout ce que j'ai vu dans les open spaces de start-ups recoupent les mĂ©faits de l'uberisation. Nous savons dĂ©sormais que les petites mains qui livrent des repas Ă  vĂ©lo et les chauffeurs Uber ont en rĂ©alitĂ© des conditions de travail misĂ©rables, bien loin de la libertĂ© promise sur le papier. Certains chauffeurs Uber de San Francisco sont obligĂ©s de dormir dans leur voiture pour enchaĂźner les heures et parvenir Ă  un salaire dĂ©cent, parce qu'ils n'ont pas le temps et donc l'argent de rentrer chez eux en banlieue. Au fond, le travail n'a guĂšre progressĂ© depuis la condition des cochers au XIXe siĂšcle. L'Ă©conomie collaborative, les nouvelles technologies, l'esprit d'innovation sont des valeurs positives, mais elles sont Ă  repenser. Avec plus d'humilitĂ©, de maturitĂ© et de respect. Et moins de licornes, de smileys et de Bisounours. Nous avons besoin d'un syndicat pour reprĂ©senter tous les salariĂ©s des start-ups, et pourquoi pas des think tanks qui donneraient pour une fois la parole aux petites mains, pour discuter ouvertement de ces thĂ©matiques avec des gens qui ont fait l'expĂ©rience de cette misĂšre sociale et de cet appauvrissement intellectuel. J'attends que le dialogue social soit favorisĂ© et que d'autres voix que la mienne soient entendues, car je ne suis pas la seule Ă  vouloir tĂ©moigner de mon vĂ©cu. À l'intĂ©rieur des start-ups, je n'ai jamais vu la moindre trace de remise en question de la part des dirigeants. Chez Vesta*, deux collĂšgues ont dĂ©missionnĂ© en mĂȘme temps que moi pour les mĂȘmes raisons, nous avons souhaitĂ© en faire part Ă  la DRH afin d'aider l'entreprise Ă  Ă©voluer. Notre action, loin d'ĂȘtre belliqueuse, n'a jamais Ă©tĂ© prise au sĂ©rieux et j'ai mĂȘme appris que le PDG en avait ri. Trois personnes dĂ©missionnaires sur un effectif de trente, cela reprĂ©sentait pourtant 10% des employĂ©s, une part non nĂ©gligeable. Les "bonnes" start-ups existent sans doute, mais elles sont trĂšs rares. Personnellement, j'attends encore. Ce n'est donc pas la licorne que je recherche, mais le mouton Ă  cinq pattes! Des initiatives comme en Allemagne et aux États-Unis sont en train d'Ă©clore. Sur cette plateforme, les ex-salariĂ©s peuvent Ă©valuer leur entreprise rĂ©munĂ©ration, qualitĂ© de vie au travail, perspectives d'Ă©volution anonymement, sous forme de petites Ă©toiles, de classement et de pourcentages. J'espĂšre que d'autres verront le jour en France et ailleurs. Pour une fois, les rĂŽles soient inversĂ©s ce ne sont plus les PDG, les managers et les clients qui notent les petites mains, comme je l'ai vu dans toutes les start-ups oĂč j'ai travaillĂ©. Et si c'Ă©tait cela, la vraie disruption? *nom modifiĂ© 1Source Article publiĂ© sur le site le 12 mars 2016. 2"RĂȘves SyncopĂ©s" Dargaud 2013, "Sartre" Dargaud 2015 "Berlin Futuropolis 2016, "Et il foula la terre avec lĂ©gĂšretĂ©" Futuropolis 2017. 3Le salaire minimum a Ă©tĂ© introduit en janvier 2015, et ne concerne pas tous les secteurs Extrait du livre "Bienvenue dans le nouveau monde. Comment j'ai survĂ©cu Ă  la coolitude des start-ups" "Le sentiment d'incertitude de la gĂ©nĂ©ration Y est exacerbĂ© dans ces nouveaux cadres de travail, rythmĂ©s par une concurrence fĂ©roce et la pulvĂ©risation de tout ce qui pourrait s'apparenter de prĂšs ou de loin Ă  quelque chose de durable. À force d'entendre d'un cĂŽtĂ© que c'Ă©tait mieux avant et que ce serait bientĂŽt pire, ou, au contraire, que tout allait super bien parce qu'on Ă©tait en train de tout rĂ©volutionner, j'ai fini par me demander oĂč finirait la gĂ©nĂ©ration Y si ce n'est Ă  la fin de l'alphabet. J'ai dĂ©cidĂ© de partir de mes expĂ©riences sur le terrain pour cartographier cette impasse et mettre au jour le double discours qui les enrobe toutes on nous fait croire qu'un monde nouveau dont nous serions les hĂ©ros est advenu alors que nous sommes toujours bel et bien bloquĂ©s dans le prĂ©sent avec des ƓillĂšres grosses comme nos iPhone derniĂšre gĂ©nĂ©ration. Pour dĂ©coder les ressorts de cette vision du monde, j'ai interrogĂ© le langage. J'ai donc dĂ©cidĂ© de raconter mes expĂ©riences sans en suivre la chronologie, mais en me focalisant sur les idiomes ou les concepts qu'elles incarnent ou rĂ©vĂšlent. Car, en vĂ©ritĂ©, les startups s'arment d'une vĂ©ritable novlangue destinĂ©e Ă  dissimuler la loi de la jungle dans une brume de cool ». Comme toutes les langues, elle n'est pas seulement un liant, un outil de communication, elle dĂ©ploie Ă©galement tout un imaginaire autour d'elle, apporte de nouveaux signifiants qui contribuent Ă  bĂątir des repĂšres communs... mais qui peuvent aussi faire croire Ă  des choses qui n'existent pas. DerriĂšre l'utopie riche de promesses humanistes vendue par la startupsphĂšre se cache en rĂ©alitĂ© un ultralibĂ©ralisme fĂ©roce et encore trop peu redoutĂ© un mĂ©lange de fascination pour les technologies de l'information, dont les progrĂšs sont fulgurants, et de soumission perverse Ă  la nouvelle Ă©conomie et aux rĂ©seaux sociaux dans lesquels l'individu, sa parole, ses aspirations et son esprit critique n'ont plus de place. Seul l'ego a encore un rĂŽle Ă  jouer. On le drague Ă  coup de compliments et d'injonctions exaltĂ©s pour le convaincre qu'il est important, qu'il mĂ©rite une place de premier choix, qu'il est, lui aussi, de tout son ĂȘtre, le symbole vivant d'une rĂ©volution en marche." PREMIER PARALLELE PREMIER PARALLELE À voir Ă©galement sur Le HuffPost

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